conscience de soi et compréhension des relations humaines, écriture, accompagnement, coaching, nouveau paradigme
La critique d'un livre peut être un exercice de style à part entière, mais peu importe comment le verdict est formulé : l'essentiel est qu'il soit formulé !Je ne sais pas s'il faut en rougir ou simplement dire merci, mais je vais tâcher de regrouper dans cette catégorie "Mes publications" les éloges (ou éventuels massacres à venir) des premiers lecteurs de mon premier roman.
Pour connaître l'avis des lecteurs les plus récents, merci de visiter le site officiel du livre :
http://www.syblio.com/vivement-l-amour (rubrique ON EN PARLE)
Nicole a écrit le 11 juillet 2011
Ton livre n'aura pas attendu les vacances, j'ai commencé ce week end et je l'ai déjà fini. J'ai ADORE !!!!! Très bien écrit, je me suis pris des fous rire pas possible sur certaines scènes à en avoir mal au ventre. Des passages d'émotion aussi. Vraiment BRAVO !!!!!
Victor a écrit le 26 juin 2011
On pourrait en faire un film. Très bien écrit. Rien à envier aux auteurs sélectionnés par les maisons d'édition.
Marialis a écrit le 25 juin 2011
Je le lis et le relis : tu caches bien ton jeu ! le dit et le non-dit… J'aime cette écriture qui ressemble tellement à la vie : elle roule, elle blesse, elle fait rire et elle touche ! Un beau voyage…
Sophie A. (membre de jurys littéraires) a écrit le 16 juin 2011 :
Irréprochable sur la forme – et très beau en tant qu’objet, ce qui ne gâche rien -, ce roman qui tient beaucoup de l’autobiographie adolescente est doté, c’est la bonne surprise, d’un style qui sied à merveille à son contenu.
Sophie a écrit le 04 juin 2011
Bon alors je profite d'un temps calme pour te donner mes impressions sur ton livre !
Il faut que tu saches tout d'abord que ce style de livre n'est pas du tout à la base ma tasse de thé ! J'affectionne les auteurs tels que Tolkien, Anne Rice, Anne Mc Caffrey, Jack Vance, Michael Moorcock, Fritz Lieber etc etc. Et comme j'ai peu de temps (à mon grand désespoir) à consacrer à la lecture, je choisi soigneusement mes ouvrages et il est vrai que je me limite à ce que je préfère, l'heroïque fantasy.
Quand Gwënola m'a envoyé le lien de ton blog pour y découvrir Vivement l'Amour, je me suis dit pourquoi pas mais sans vraiment de conviction (je connais bien mes goûts lol) ! J'ai donc commencé à lire une page, puis deux puis trois.... je suis arrivé au bout sans m'en rendre compte et une fois la dernière ligne terminée je me suis dit "ben zut et la suite alors.... ????" La suite tu connais, je t'ai envoyé direct un mail pour réserver ton livre en croisant les doigts pour qu'il en reste encore et j'ai attendu mon joli petit coli :-)
Je dois avouer que tu as réussi le tour de force de me détourner de mes dragons et magiciens en tous genres… Je ne sais pas vraiment pourquoi j'ai accroché comme ça à ton roman mais il est vrai que je n'arrivais plus à lever le nez de ton bouquin une fois commencé. Je fais bien évidemment partie de la génération Top 50 et il est vrai que ton histoire ressemble étrangement à la mienne, à la nôtre et ta façon de raconter, cette sorte d'autodérision que tu emploies est tout simplement un vrai régal pour les lecteurs. Je dois par contre mettre un petit bémol à cette critique : quand je suis arrivé au bout de la 424ème page, tu sais, celle avec le mot FAIM, j'ai été déçue....... déçue que celà s'arrête si vite, que d'autres pages ne viennent encore alimenter cette histoire.... c'est que j'avais encore faim moi de Vivement l'amour
Tout ça pour dire que j'espère que ton premier roman ne sera pas le dernier et qu'à cause de toi je dois remettre en question mes convictions : "Non je n'aime pas que l'héroïque Fantasy", et il aura fallu attendre 40 ans pour le découvrir :-)
Mina (blog de lecture) a écrit le 3 juin 2011 :
Vivement l'amour est un roman très intelligent sur les difficultés de l'adolescence, une histoire pleine d'humour mais aussi pleine de réflexions dans lesquelles chacun pourra se retrouver.
Charlie Bregman : un nom à retenir !
Xavière a écrit le 31 mai 2011
J'ai lu hier tout l'après midi ; et les 4 derniers chapitres, que je me gardais pour aujourd'hui : de 3 à 4 h cette nuit.
Anne-Lise a écrit le 31 mai 2011
J'ai beaucoup aimé ce livre, et particulièrement la façon dont il a été écrit, avec une dose d'humour que j'apprécie beaucoup :-). Ce petit Charlie donnant l'impression de se confier à nous dans sa "quête de l'Amour", je me suis attachée à "ce personnage" et l'ai suivi volontiers au fil des pages, dans ses questions, son raisonnement, ses surprises, ses réflexions... En clair, j'adore, et j'en redemande... alors à quand la suite de son histoire ?
Anne Marie a écrit le 23 mai 2011
Je suis en pleine lecture et je me délecte... J'ai "attaqué" hier après-midi et il ne me reste plus que 120 pages (sniff sniff et re.sniff).
Je dois vous avouer que depuis hier je porte des soquettes blanches et je joue à l'élastique dans la cour du collège. Que du bonheur !!!!
Je vais tenter de vous préparer une critique dithyrambique en tentant d'être à la hauteur de votre plume !!!
Marie Fontaine a écrit le 23 mai 2011
Le livre de Charlie Bregman commence par une phrase raturée. LA phrase raturée, à laquelle on pourrait consacrer une thèse, tant elle promet d’incursions dans le symbolique. Vraiment culotté ! Cet homme-là n’a pas froid aux yeux d’oser d’emblée utiliser l’écriture comme un matériau que l’on peut prendre à bras-le-corps pour le modeler, le découper, le ciseler, le rayer, à la manière d’un poète fourbissant ses vers... Passé le premier moment d’étonnement amusé, on se rend très vite compte de l’importance capitale de cette phrase reniée : elle n’est rien de moins que la « madeleine » de Charlie, dans laquelle il nous demande de croquer avec lui à pleines dents. Nous sommes tous cordialement conviés à une communion des saveurs miraculeusement retrouvées de l’adolescence. D’avance nous savons combien il va être bon de s’y replonger.
Cet ouvrage, après bien des balbutiements d’impatiences amoureuses (projet d’écriture initial), est le premier rendez-vous abouti de Charlie Bregman, écrivain, avec ses lecteurs. Comme pour n’importe quelle première fois, la nervosité est là, se sent dans l’écriture, un peu tendue du début, portée par le désir de bien écrire. Puis les chapitres défilent, une intimité, une complicité, se tissent et l’on découvre un Charlie plus détendu, confiant, qui finit par libérer ses mots pour notre plus grande gourmandise. En cela, je considère Vivement l’amour comme vraiment littéraire, le fond et la forme se mariant à merveille : la première fois amoureuse épouse la première fois scripturale.
Nous voici donc embarqués dans le vaisseau du temps pour un voyage dans le récent passé des années 80, afin de partager avec Charlie les (r)évolutions qui ont pimenté ses quinze ans. Cette incursion se révèlera des plus drôles, l’auteur maniant avec une folle dextérité le comique de situation. Il y joint une fraîcheur de ton digne des meilleurs Pagnol. Immergée dans Vivement l’amour, je me suis notamment souvenue du Temps des secrets de cet auteur provençal que j’apprécie tant. Les époques changent, mais les affres et la fièvre de la première fois demeurent les mêmes.
Ce livre est aussi l’occasion pour Charlie Bregman de dresser une savoureuse galerie de portraits étrangement familiers. Nous avons tous connu les mêmes profs, les mêmes camarades de classe, les mêmes frères et sœurs, ou encore les mêmes parents. L’auteur les ressuscite et les lie dans son récit par une analyse psychologique des plus fines, avec les rapports père-fils en point d’orgue. L’identification est immédiate, l’empathie certaine. Nous retrouvons pour quelques heures, avec beaucoup de nostalgie, quelques fantômes de notre propre passé : la « madeleine » de Charlie flirte joliment avec la magie de l’émotion du temps retrouvé.
Pour finir je vous cite quelques délectables titres de chapitres, à déguster en guise d’apéritif :
Aux sombres blaireaux de l’amer
Les sous-doués en latence
L’embêté en pente douce
A la poursuite de l’amant vert
A caus’ des caleçons
Trois hommes et un lapin
Ils donnent un aperçu du ton général du livre. Vous en voulez encore ? Dans ce cas, invitez-vous à votre tour dans ce jubilatoire opus et ne vous demandez plus « Mais où est Charlie ?» Il est dans chacune des lignes de Vivement l’amour. Il n’attend plus que vous.
Gwënola Guillou a écrit le 13 mai 2011
Il y a des livres qui ne laissent pas indifférents. Mon dernier gros coup de cœur littéraire fut incontestablement pour L’élégance du hérisson, tellement bien écrit, tellement riche en vocabulaire, que je l’avais savouré comme on boit du petit lait.
Vivement l’Amour fait à mon sens partie de ces ouvrages. Mes détracteurs n’hésiteront pas à dire que des relations privilégiées avec l’auteur affectent mon objectivité. Faux, archi faux.
J’avais pris connaissance de certains chapitres avant de recevoir l’ouvrage, suffisamment pour en avoir l’eau à la bouche. J’avais ressenti cette improbable impatience à vouloir obtenir à tout prix ce livre qui n’était pas encore publié. Ai-je été déçue ? NON.
Je souhaite rendre hommage à la plume de Charlie : richesse d’un vocabulaire choisi avec soin, syntaxe parfaite, maîtrise totale de l’autodérision, humour au détour de chaque phrase, et analyse des situations toute en finesse.
L’histoire ne s’arrête pas à Charlie, 15 ans, le champion de « la loose » amoureuse, qui va tenter pendant plus de 400 pages de séduire Marina, la plus belle fille de sa classe. Cet ouvrage va en fait beaucoup plus loin. C’est en quelque sorte une auto psychanalyse de l’enfance de Charlie, de ses rapports avec ses parents, frères et sœurs, copains, mais surtout c’est une réflexion profonde sur lui-même qu’il nous livre.
L’art de l’auteur est de nous faire partager une année de sa vie sans complaisance mais avec le rire qui surgit au détour de chaque page.
Vivement l’Amour est un livre qui fait du bien au moral, au cœur, et à l’âme. A consommer sans modération, à lire, et à relire en boucle !
Anne-Lise a écrit le 8 mai 2011
J'ai été emballée de suite par Charlie, j'me suis très vite connectée à lui, sa manière d'être et de penser, ses interrogations, ces craintes, ces joies, ses incompréhensions, je le suivais aisément dans son parcours, je le comprenais très bien et j'étais avec lui. Quand par exemple, il pouvait pas sortir au cinéma, ou lorsqu'il voulait absolument voir Marina à la récré pour lui expliquer ou courir à la piscine, j'avais l'impression de bien sentir son état intérieur, son impatience, ces peurs que Marina le laisse tomber, çà donne presqu'envie d'aller tout lui dire à Marina pour lui, tant Charlie est touchant et qu'on peut comprendre qu'il ait l'impression que tout et tous s'acharne contre lui […] Merci pour ce p'tit bonheur.
Gwënola Guillou a écrit le 18 avril 2011
Il y a des rencontres artistiques qui sont tout simplement évidentes. Un soir de hasard, j’ai entrouvert la porte de Charlie Bregman. Il n’était pas là, seuls ses écrits m’ont accueillie. Tout d’abord, j’ai parcouru avec intérêt le contenu de sa page d’accueil, puis emportée par le style et la verve, j’ai fureté dans toutes les pièces à la manière d’une « gentlewoman » cambrioleuse. Je suis tombée presque par accident sur un trésor : « Les couilles de mon papa ».
Ainsi formulée la prose pourrait sembler vulgaire, cependant, trois lignes plus loin j’ai souri. Le paragraphe suivant je riais franchement, et lorsque ma lecture fut achevée le fou rire m’avait gagnée. Un lecteur qui se tient les côtes, c’est bon signe. Un auteur séduit par un autre auteur n’est pas forcément un gage de qualité, pourtant ma fibre d’écrivaine a vibré.
Pourquoi vous parler de Charlie aujourd’hui ? Parce que c’est un cas ! Il manie les mots avec une précision chirurgicale, pratique l’auto dérision comme peu d’auteurs en sont capables, quant à son humour il est aussi précis et acéré qu’un scalpel. Mais surtout Charlie s’est lancé dans une grande aventure : celle de l’autoédition.
Non content d’avoir du talent, Charlie est également courageux. Car il en faut des wagons de courage pour se lancer dans une telle entreprise ! Il va tout d’abord faire imprimer 30 ouvrages en « Avant-première Edition » ce qui lui permettra de démarcher des partenaires libraires ou particuliers. Vous, lecteurs, êtes directement concernés car vous avez la possibilité d’acquérir en exclusivité cet ouvrage. Les modalités se trouvent sur la page d’accueil de Charlie ainsi que l’historique de ses pérégrinations littéraires qui l’ont conduit à commettre son ouvrage.
Mais de quoi parlons-nous exactement ?
Le chef d’œuvre de Charlie BREGMAN s’intitule « Vivement l’Amour ». Loin de moi l’idée de me lancer dans une critique littéraire : je suis comme vous, j’attends mon exemplaire dédicacé avec impatience. Cependant j’ai eu accès à quelques informations sur le fond de l’histoire. Ne souhaitant pas être trop factuelle, j’ai choisi de vous en divulguer quelques tranches en me glissant dans la peau d’un panel de lecteurs.
Les adolescentes (16 ans)
- Hannnnnnn, c’est trop bien ! Je kiffe grave Charlie… J’aurais tellement aimé être à la place de Marina !
- Tu parles… Comment elle se la raconte grave la fille ! Nan mais t’as vu comment elle le traite le Charlie. Une vraie poufiasse…
- J’ai trop hâte de voir le film au ciné. J’espère qu’ils prendront Robert Pattinson pour jouer le rôle de Charlie…
- Ha non, pas le vampire ! Moi je verrais plutôt Aston Kutcher…
- Trop naze Aston, en plus il vit avec une vieille. Moi je te parie qu’ils demanderont à Justin Bieber…
- En tout cas, je me demande à qui ils proposeront le rôle de la pétasse ?
Les jeunes femmes dans la vingtaine
- Tu lis quoi ?
- Vivement l’Amour !
- Ça parle de quoi ?
- Bah d’amour !
- Tu peux développer ?
- Les premiers émois amoureux de Charlie, 15 ans, qui a une bonne tête de looser pour séduire la plus belle fille du lycée.
- Ne me dis pas que tu lis encore des trucs comme ça !
- Si, si. D’ailleurs je vais même le refiler à Théo.
- Tu vas faire lire ça à ton mec ?
- Direct ! Maintenant qu’il se prend pour un Apollon, je veux qu’il se rappelle comment il était avant : moche, truffé d’acné et défiguré par l’appareil dentaire tue l’amour qui va bien.
Les copines quadra bobo
- T’as lu le dernier Beigbeder ?
- Non, là je suis sur Bregman.
- Bregman ? Connais pas. Il fait partie des prix littéraires de la rentrée ?
- Non, mais il aurait pu si son livre était sorti à temps.
- C’est philosophique ou autobiographique ?
- Plutôt autobiographique.
- En quoi son histoire se différencie-t-elle des autres ?
- Parce qu’elle fait référence à des standards qui sont ancrés dans notre adolescence. Comment te dire ? C’est profond, puissant, cela exprime d’une façon presque freudienne comment la diversité des émotions ressenties à l’adolescence a façonné notre « moi » intérieur.
- C’est fascinant ! Ma chérie, je compte sur toi pour me le prêter au plus vite.
Les amies d’enfance à présent grands-mères
- Tu te rends compte, j’ai surpris ma petite-fille de 15 ans en train de lire un pamphlet sur le sexe !
- Sur internet ?
- Pas du tout ! La petite avait récupéré un livre chez une copine : Vivement l’Amour que ça s’appelle !
- Oh, ce n’est que ça…
- Mais ma petite Odile tu perds la tête ? Rien que le titre est une atteinte aux bonnes mœurs.
- Non Clémence, c’est toi qui t’égards. Vivement l’Amour n’a rien d’un ouvrage porno, et n’incite pas à la débauche.
- Tu en parles comme si tu l’avais lu ?
- Je l’ai lu.
- Odile, tu m’inquiètes…
- Ne te fais pas de soucis pour moi. Va plutôt prendre un bain de jouvence avec Vivement l’Amour !
- Il n’en est pas question. J’ai passé l’âge de lire des ouvrages salaces.
- Ne dis donc pas de bêtises, on parle juste des émois amoureux d’un jeune garçon sur le point de vivre sa première fois.
- Ha ça, jamais ! De mon temps on rencontrait son mari, mais on ne s’essayait pas avant le mariage.
- Ecoute-moi bien ma petite Clémence, si tu avais pu essayer ton René avant le mariage tu te serais épargnée 40 ans d’emmerdements !
Lectrice, si tu as aimé « Le Petit Nicolas », si tu étais adolescente dans les années 80, si tu t’es identifiée à Vic (La Boum 1 et 2), si tu as plongé direct dans « LOL », alors tu ne peux pas passer à côté de "Vivement l’Amour".
Lecteur, si tu n’as jamais lu « Le Petit Nicolas » parce que tu n’aimais pas la lecture, si tu as bourgeonné comme un cerisier dans les années 80, si tu collectionnais « les pin’s » de John Travolta et si tu regardais « Emmanuelle » en cachette sur le magnétoscope de tes parents, tu n’as pas le choix, il te faut "Vivement l’Amour".